La Nouvelle-France vers 1645
La Nouvelle-France vers 1745
Changement
L'arrivée des Ursulines en 1639 à Québec
Domaine public / Frank Craig Bibliothèque et Archives Canada, C-001549
Page titre des «Relations» publiées par les Jésuites
Domaine public / Paul le Jeune Bibliothèque et Archives Canada, NLC-1089
Couverture d'un livre écrit par un Récollet
Domaine public / Gabriel Sagard Bibliothèque et Archives Canada, C-113480
Un jésuite prêchant aux Premières Nations
Domaine public / Charles William Jefferys Bibliothèque et Archives Canada, C-005855
L'enseignement des enfants autochtones par la mère Marie de l'Incarnation au couvent des Ursulines
Charles William Jefferys BIBLIOTHÈQUE et ARCHIVES Canada / C-073422
En 1645, la population de la Nouvelle-France est catholique et compte un certain nombre de religieux et de religieuses. Mais les communautés religieuses sont encore peu nombreuses à ce moment. La plus importante est celle des Jésuites, établie dans la colonie depuis 1625.
Les Jésuites
On retrouve des Jésuites à Québec, à Trois-Rivières et à Montréal, mais aussi parmi les nations autochtones. Ils fondent des missions afin de convertir les Autochtones à la religion catholique. Les Jésuites sont particulièrement présents chez les Hurons-Wendats. De 1632 à 1672, ils publient chaque année les récits de leur travail dans la colonie (les Relations). En plus de leur travail de missionnaire, ils ont fondé un collège pour les garçons à Québec en 1635.
Les Ursulines et les Hospitalières
Deux communautés de femmes sont aussi présentes en 1645 : les Ursulines et les Hospitalières de la Miséricorde de Jésus. Elles arrivent par le même bateau à Québec en 1639. Les Ursulines enseignent aux Françaises et aux membres des Premières Nations, alors que les Hospitalières s’occupent de l’Hôtel-Dieu, l’hôpital de Québec.
C’est plus tard qu’arriveront ou reviendront s’établir d’autres communautés, comme les Sulpiciens et les Récollets.
Auteur Service national du Récit de l'univers social
