La Nouvelle-France vers 1645
Un guerrier iroquois
Domaine public / Jacques Grasset de Saint-Sauveur Bibliothèque et Archives Canada, C-003163
La mort de missionnaires jésuites pendant les guerres franco-iroquoises marque l’esprit des colons
Domaine public / Étienne David Bibliothèque et Archives Canada, C-004462
Défaite des Iroquois au Lac Champlain, 1609
Domaine public / Samuel de Champlain Bibliothèque et Archives Canada, C-005750
L'attaque du fort Verchères par les Iroquois, 1692. Madelaine fermant la porte
Domaine public / Charles William Jefferys Bibliothèque et Archives Canada, C-010687
Statue du monument de Maisonneuve : Lambert Closse avec sa chienne Pilote
Creative Commons (BY-NC-SA) Service national du RÉCIT de l'univers social
Tout n’est pas rose pour les colons en 1645. De nombreuses difficultés compliquent leur quotidien. Il faut construire, défricher, s’adapter au rude climat de l’hiver, sans compter les guerres contre les Iroquois (Haudenosaunee).
Les amis de mes ennemis sont mes ennemis!
Quand les Français s’installent dans la vallée du Saint-Laurent, les Iroquois ne sont pas tout de suite en guerre contre eux. Ils sont plutôt en guerre contre les Algonquins (Anishinabegs), les Innus et les Hurons-Wendats, d’autres nations autochtones. Pourquoi? Oh là là! voilà une bonne question. Disons que les Iroquois veulent protéger leur territoire de chasse et être les plus importants dans le commerce des fourrures. Les Français deviennent les ennemis des Iroquois parce qu’ils sont amis avec les Algonquins, les Innus et les Hurons-Wendats.
Une colonie en guerre
Les forts de Montréal et de Trois-Rivières sont attaqués à plusieurs reprises par les Iroquois, causant la mort de colons. Certains habitants ont peur d’aller cultiver les champs. Pour se protéger, ils s’y rendent en groupe, certains sont armés alors que les autres travaillent. Ces conflits sont entrecoupés de périodes de trêve, ce qui permet à la colonie de se développer malgré tout.
Mais comment ces guerres se terminent-elles? Tu trouveras la réponse en lisant la fiche sur la Grande paix de Montréal.
Auteur Service national du Récit de l'univers social
