La Nouvelle-France vers 1645
Les aliments empruntés aux Autochtones : le maïs, la courge et le haricot
Contexte éducatif seulement (BY-NC) / Diane Boily AKI : Sociétés et Territoires autochtones
La pêche
Domaine public / M.E. Bowen Bibliothèque et Archives Canada, C-086634
La pêche à la morue dans le Golfe du Saint-Laurent
Domaine public / Herman Moll Bibliothèque et Archives Canada, C-003686
La chasse à l'orignal
Domaine public / Millicent Mary Chaplin Bibliothèque et Archives Canada, C-000895
La pêche dans le golfe du Saint-Laurent
Creative Commons (BY-NC-SA) Service national du RÉCIT de l'univers social
Même s’il est difficile de défricher la terre, même si les étés sont courts et que les hivers sont froids, les habitants de la Nouvelle-France arrivent à subvenir à leurs besoins en récoltant du blé et des légumes. Ils découvrent également de nouveaux aliments comme le maïs, la courge ou le haricot.
La chasse et la pêche
La chasse et la pêche fournissent assez de viande et de poissons pour tout le monde. On peut trouver du gibier comme l’orignal, l’ours et le castor dans les nombreuses forêts autour des établissements et dans le territoire de la Nouvelle-France. La pêche est pratiquée surtout dans le golfe du St-Laurent, près de l’Acadie. Elle fournit assez de morue pour les besoins des habitants.
Les nouveaux aliments d’Amérique
Les Autochtones font découvrir plusieurs nouveaux aliments aux colons français. En plus des légumes (maïs, courge, haricot) et des viandes (orignal, ours, castor), les colons découvrent l’eau d’érable, une eau sucrée qu’ils aiment beaucoup. Tous ces aliments offrent une alimentation plus variée aux habitants de Nouvelle-France qu’aux Français.
